Sans attendre, je me levai du lit, faisant tombé au passage le pauvre chat qui dormait pesiblement. Celui-ci se débatit dans les draps en poussant des miaullements et finit par capitulé et se rendormir.
Je pris la poignée de la porte dans ma main et la fit tournée sur elle même. La porte s'ouvrit, mais pas malheuresement pas sans bruit. En bas, les pas, suivit du bruit du tapis frotté contre le sol s'accèlèrerent brutalement. Si je ne me dépêchait pas, le criminel allais s'enfuire avec la pauvre Karine!!!!